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jeudi 24 juillet 2008
mercredi 23 juillet 2008
Cours de coupe -> précisions
Je tiens à préciser que je suis complètement novice dans cet art.
J'ai participé à la coupe d'une demi douzaine de chemise avec M. Courtot, que je remercie vivement soit dit en passant.
Les manières de faire, objets utilisés, termes employés pourraient faire hurler certains puristes.
J'essayerai au fur et à mesure de mettre à jour les erreurs commises...
Un grand merci également à Laliquette pour son aide précieuse !
J'ai participé à la coupe d'une demi douzaine de chemise avec M. Courtot, que je remercie vivement soit dit en passant.
Les manières de faire, objets utilisés, termes employés pourraient faire hurler certains puristes.
J'essayerai au fur et à mesure de mettre à jour les erreurs commises...
Un grand merci également à Laliquette pour son aide précieuse !
mardi 22 juillet 2008
lundi 21 juillet 2008
pour Hommes extraordinaires
pour Hommes extraordinaires
PETITE MESURE
1, rue des Marivaux
75002 PARIS
01 49 26 01 59
http://www.ohnona.com/
Métro : Quatre-Septembre ou Richelieu-Drouot
PETITE MESURE
1, rue des Marivaux
75002 PARIS
01 49 26 01 59
http://www.ohnona.com/
Métro : Quatre-Septembre ou Richelieu-Drouot
L'Alternative avec un grand "A" à la grande mesure, Michaël Ohnona réalise une petite mesure, en partie industrielle certes, mais tout à fait exceptionnelle.
Des explications prochainement !
dimanche 20 juillet 2008
Aubercy, non merci...
Bien qu'aimant certains modèles de ce chausseur, je trouve leur dernière création quelque peu curieuse (des diamants incrustés sur un bout fleuri) et le passage aujourd'hui devant leur boutique de la rue Vivienne me font dire que je ne franchirais jamais les portes d'Aubercy.
samedi 19 juillet 2008
Londres : les artisans français vont chercher le savoir
copyright © TF1
On sait que les tailleurs d'Outre-manche sont mondialement reconnus. C'est pourquoi de jeunes français sont venus s'inspirer de leur savoir.
vendredi 18 juillet 2008
jeudi 17 juillet 2008
Comment choisir un costume ?
copyright © Linternaute
Quelles questions doit-on impérativement se poser lorsque l'on souhaite acheter un costume ? Ecoutez les explications de Lorenzo Cifonelli.
mercredi 16 juillet 2008
Le sur mesure sous toutes les coutures
copyright © Linternaute
70 heures de travail et un mois et demi de délais sont nécessaires au montage d'un costume. Suivez les étapes de la confection d'un costume sur mesure signé Cifonelli.
mardi 15 juillet 2008
Les coulisses de la Maison Cifonelli
copyright © Linternaute
La maison Cifonelli a été fondée à Rome en 1860. Quatre générations plus tard, les arrières petits-fils du créateur perpétuent la tradition de la confection de costumes sur mesure.
Article et reportage publié sur le site Linternaute.
Article et reportage publié sur le site Linternaute.
vendredi 11 juillet 2008
Camps de Luca
Camps de Luca
TAILLEUR
GRANDE MESURE
11, place de la Madeleine
75008 PARIS
01 42 65 42 15
http://www.campsdeluca.com/
Métro : Madeleine
Agrandir le plan
TAILLEUR
GRANDE MESURE
11, place de la Madeleine
75008 PARIS
01 42 65 42 15
http://www.campsdeluca.com/
Métro : Madeleine
Adresse incontournable, l'un des meilleurs tailleurs de Paris.
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jeudi 10 juillet 2008
mardi 8 juillet 2008
Anthony Delos (ancienne adresse)
Anthony Delos
BOTTIER
5, rue Constance
75018 PARIS
01 46 06 30 29
http://www.anthonydelos.com/
Métro : Blanche ou Abbesses
Fraichement installée en 2004 après un passage de 4 ans chez John Lobb Paris, Anthony Delos a la particularité d'avoir une double formation : botterie et orthopédie. Ces deux activités sont complémentaires et participent à l'accomplissement d'une paire de souliers d'une qualité tout à fait exceptionnelle et d'un confort inégalé.
Mon rêve de botterie !
Mon rêve de botterie !
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Anthony Delos ayant déménagé,
vous trouverez sa nouvelle adresse sur le lien suivant :
http://chatolufsen.blogspot.com/2009/12/anthony-delos.html
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lundi 7 juillet 2008
samedi 5 juillet 2008
John Lobb met le luxe à ses pieds
Reportage publié sur le site internet du Point visible ici
C'est en Grande-Bretagne, dans la ville de Northampton que se trouve la manufacture du bottier John Lobb. Reportage au coeur des ateliers, à la rencontre des "petites mains" qui fabriquent ces souliers à se damner.
Par Marine de La Horie
Au milieu du XIXe siècle, l'ex capitale de la chaussure comptait 400 bottiers. Aujourd'hui, il n'en reste plus que quatre à Northampton. Chaque année, 25 000 paires sortent des ateliers. Des oeuvres d'art réalisées par des artisans triés sur le volet qui se transmettent depuis des générations, un savoir-faire ancestral. Tout est fait sur place, de A à Z. Sauf le sur-mesure qui est réalisé dans les ateliers parisiens de la marque, rue du Faubourg-Saint-Antoine.
John Lobb n'utilise que du cuir pleine fleur, non poncé. Même la semelle est en cuir pleine fleur ! Le moindre défaut est traqué à la loupe. Les artisans peuvent ainsi jeter jusqu'à 50 % de la peau pour ne garder que la "crème de la crème du cuir". Les "clickers" sont des gros bras qui retournent le cuir dans tous les sens pour tester son élasticité et voir dans quel sens il s'usera le moins. Une paire de John Lobb ne doit pas faillir à sa réputation : solidité, élégance et confort.
Il faut compter 800 euros pour une paire de John Lobb, en prêt-à-chausser. Selon Andrès Hernandez, figure emblématique de la maison depuis une vingtaine d'années : "Personne n'a besoin d'une paire de chaussures à 800 euros. En revanche, tout le monde rêve de porter des souliers faits main." Ainsi, chaque paire est rigoureusement fabriquée dans les règles de l'art et nécessite 190 opérations, au cours d'un processus très compliqué. Un service de sur-mesure, situé à Paris, répond aux exigences d'une centaine de clients. Même les plus farfelues, par exemple, insérer un objet fétiche dans le talon de la chaussure ou opter pour un cuir très exotique. Les heureux élus doivent débourser de 3 000 à 12 000 euros pour une paire en sur-mesure. Ce service comprend prise de mesure, essayage et livraison. John Lobb ne réalise que des chaussures d'homme, mais avec des modèles qui commencent au 32, clientèle asiatique oblige, la gent féminine peut aussi trouver chaussure à son pied.
La magie du geste, c'est que les artisans arrivent à transformer une pièce plate de cuir en une oeuvre d'art tridimensionnelle. L'idée est de coudre les pièces découpées et de les placer sur la forme qui correspond à la taille du pied. Après avoir été cousue main, la tige est ensuite clouée sur la forme. Alors on fixe la semelle, puis le talon. Entre chaque étape, on prend le temps que le cuir adopte sa forme définitive. Les temps de séchage sont interminables. Le procédé Goodyear est l'une des marques de fabrique de John Lobb. Il consiste en une bande de cuir, une trépointe cousue, qui fait le tour de la semelle. Il suffit de découdre ce trait d'union entre le dessus et le dessous de la chaussure pour pouvoir la démantibuler et la réparer facilement.
Pour certaines opérations de broderie sur le cuir, les artisans utilisent du crin de porc, car un fil traditionnel nécessiterait une aiguille avec un chas trop gros, qui risquerait d'endommager le cuir. Cette opération peut prendre de 2 à 5 heures. Aucun détail n'est laissé au hasard. Mais il faut aussi suivre le rythme, à raison d'une vingtaine de paires par jour.
Il est effectué par des professionnels. Le cuir reste brut, il n'est ni verni, ni recouvert de polish. Les cireurs apportent la touche finale : le glaçage. La fameuse patine ne doit se voir que sur le bout des chaussures.
John Lobb propose également à ses clients un service de cirage à domicile. Le bottier a même formé des majordomes de grands hôtels (dont le mythique Connaught à Londres, www.the-connaught.co.uk), pour qu'ils soient en mesure de cirer les chaussures de leurs clients selon la tradition John Lobb. Le comble du chic !
Avec quasiment 60 modèles au catalogue, John Lobb propose l'embarras du choix à ses clients. Deux fois par an, une nouvelle collection est lancée, avec de nouveaux styles. Le service "commandes spéciales" permet aux clients de demander un modèle qui était au catalogue il y a 10 ou 20 ans. Résultat, chaque modèle a moins de quatre ans d'existence. Depuis trois ans, John Lobb a dépoussiéré son image. Exit le "shoemaker" traditionnel, le bottier nouveau fait désormais appel aux dernières technologies, comme la découpe au laser.
John Lobb a été racheté par le groupe Hermès en 1976. En 2005, Réna Dumas a entièrement repensé le design intérieur des vingt boutiques que compte John Lobb dans le monde.
Autrefois, pour porter une paire de John Lobb, il fallait souffrir pendant plus d'un mois pour "faire" ses chaussures. Aujourd'hui, le confort a été nettement amélioré.
Le 25 octobre, c'est la Saint-Crépin, le patron de tous les bottiers. Tous les ans, depuis 1996, John Lobb réalise un modèle en l'honneur de ce saint Patron. Le millésime 2008, qui sortira cet automne, sera édité à mille exemplaires, dans différents coloris. Il sera numéroté et vendu pendant un an. Pas un jour de plus. Il n'y en aura pas pour tout le monde... Attention, collector en puissance !
www.johnlobb.com
La capitale de la chaussure
C'est en Grande-Bretagne, dans la ville de Northampton que se trouve la manufacture du bottier John Lobb. Reportage au coeur des ateliers, à la rencontre des "petites mains" qui fabriquent ces souliers à se damner.
Par Marine de La Horie
Au milieu du XIXe siècle, l'ex capitale de la chaussure comptait 400 bottiers. Aujourd'hui, il n'en reste plus que quatre à Northampton. Chaque année, 25 000 paires sortent des ateliers. Des oeuvres d'art réalisées par des artisans triés sur le volet qui se transmettent depuis des générations, un savoir-faire ancestral. Tout est fait sur place, de A à Z. Sauf le sur-mesure qui est réalisé dans les ateliers parisiens de la marque, rue du Faubourg-Saint-Antoine.
Des cuirs triés sur le volet
John Lobb n'utilise que du cuir pleine fleur, non poncé. Même la semelle est en cuir pleine fleur ! Le moindre défaut est traqué à la loupe. Les artisans peuvent ainsi jeter jusqu'à 50 % de la peau pour ne garder que la "crème de la crème du cuir". Les "clickers" sont des gros bras qui retournent le cuir dans tous les sens pour tester son élasticité et voir dans quel sens il s'usera le moins. Une paire de John Lobb ne doit pas faillir à sa réputation : solidité, élégance et confort.
Du luxe pour toutes les bourses
Il faut compter 800 euros pour une paire de John Lobb, en prêt-à-chausser. Selon Andrès Hernandez, figure emblématique de la maison depuis une vingtaine d'années : "Personne n'a besoin d'une paire de chaussures à 800 euros. En revanche, tout le monde rêve de porter des souliers faits main." Ainsi, chaque paire est rigoureusement fabriquée dans les règles de l'art et nécessite 190 opérations, au cours d'un processus très compliqué. Un service de sur-mesure, situé à Paris, répond aux exigences d'une centaine de clients. Même les plus farfelues, par exemple, insérer un objet fétiche dans le talon de la chaussure ou opter pour un cuir très exotique. Les heureux élus doivent débourser de 3 000 à 12 000 euros pour une paire en sur-mesure. Ce service comprend prise de mesure, essayage et livraison. John Lobb ne réalise que des chaussures d'homme, mais avec des modèles qui commencent au 32, clientèle asiatique oblige, la gent féminine peut aussi trouver chaussure à son pied.
Cinq jours pour assembler une seule paire !
La magie du geste, c'est que les artisans arrivent à transformer une pièce plate de cuir en une oeuvre d'art tridimensionnelle. L'idée est de coudre les pièces découpées et de les placer sur la forme qui correspond à la taille du pied. Après avoir été cousue main, la tige est ensuite clouée sur la forme. Alors on fixe la semelle, puis le talon. Entre chaque étape, on prend le temps que le cuir adopte sa forme définitive. Les temps de séchage sont interminables. Le procédé Goodyear est l'une des marques de fabrique de John Lobb. Il consiste en une bande de cuir, une trépointe cousue, qui fait le tour de la semelle. Il suffit de découdre ce trait d'union entre le dessus et le dessous de la chaussure pour pouvoir la démantibuler et la réparer facilement.
Le souci du détail
Pour certaines opérations de broderie sur le cuir, les artisans utilisent du crin de porc, car un fil traditionnel nécessiterait une aiguille avec un chas trop gros, qui risquerait d'endommager le cuir. Cette opération peut prendre de 2 à 5 heures. Aucun détail n'est laissé au hasard. Mais il faut aussi suivre le rythme, à raison d'une vingtaine de paires par jour.
Ultime étape : le cirage
Il est effectué par des professionnels. Le cuir reste brut, il n'est ni verni, ni recouvert de polish. Les cireurs apportent la touche finale : le glaçage. La fameuse patine ne doit se voir que sur le bout des chaussures.
John Lobb propose également à ses clients un service de cirage à domicile. Le bottier a même formé des majordomes de grands hôtels (dont le mythique Connaught à Londres, www.the-connaught.co.uk), pour qu'ils soient en mesure de cirer les chaussures de leurs clients selon la tradition John Lobb. Le comble du chic !
Une diversité inégalée
Avec quasiment 60 modèles au catalogue, John Lobb propose l'embarras du choix à ses clients. Deux fois par an, une nouvelle collection est lancée, avec de nouveaux styles. Le service "commandes spéciales" permet aux clients de demander un modèle qui était au catalogue il y a 10 ou 20 ans. Résultat, chaque modèle a moins de quatre ans d'existence. Depuis trois ans, John Lobb a dépoussiéré son image. Exit le "shoemaker" traditionnel, le bottier nouveau fait désormais appel aux dernières technologies, comme la découpe au laser.
L'ère de la renaissance
John Lobb a été racheté par le groupe Hermès en 1976. En 2005, Réna Dumas a entièrement repensé le design intérieur des vingt boutiques que compte John Lobb dans le monde.
Autrefois, pour porter une paire de John Lobb, il fallait souffrir pendant plus d'un mois pour "faire" ses chaussures. Aujourd'hui, le confort a été nettement amélioré.
La tradition de la Saint-Crépin
Le 25 octobre, c'est la Saint-Crépin, le patron de tous les bottiers. Tous les ans, depuis 1996, John Lobb réalise un modèle en l'honneur de ce saint Patron. Le millésime 2008, qui sortira cet automne, sera édité à mille exemplaires, dans différents coloris. Il sera numéroté et vendu pendant un an. Pas un jour de plus. Il n'y en aura pas pour tout le monde... Attention, collector en puissance !
www.johnlobb.com
vendredi 4 juillet 2008
Brioni
Petit livre de 80 pages, écrit par Farid Chenoune et publié aux Editions Assouline dans la collection Mémoire de la Mode, disponible sur http://www.assouline.com/.
Farid Chenoune retrace l'histoire de la maison depuis les années 50 à nos jours avec notamment de nombreuses photos.
"Célèbre aux États-Unies dès les premières années cinquante,
Brioni a été le promoteur, le premier condottière, de cette mode
masculine italienne qui a renouvelé,
face à la tradition britannique, la garde-robe des hommes.
Au point d'habiller le James Bond
de cette fin de siècle? Pierce brosnan.
L'Histoire de Brioni commence en 1945 dans un atelier de tailleur,
à Rome : Rome, où éclate alors au grand jour,
dans un mélange d'audace et de fierté, cette passion publique
qu'on appellera bientôt l'élégance italienne."
Brioni a été le promoteur, le premier condottière, de cette mode
masculine italienne qui a renouvelé,
face à la tradition britannique, la garde-robe des hommes.
Au point d'habiller le James Bond
de cette fin de siècle? Pierce brosnan.
L'Histoire de Brioni commence en 1945 dans un atelier de tailleur,
à Rome : Rome, où éclate alors au grand jour,
dans un mélange d'audace et de fierté, cette passion publique
qu'on appellera bientôt l'élégance italienne."
jeudi 3 juillet 2008
La tradition de la Saint-Crépin
J'ai l'honneur de vous présenter le Millésime 2008 de John Lobb, en vente à partir du 25 octobre 2008 (jour de le Saint Crépin, le patron des bottiers).
mercredi 2 juillet 2008
mardi 1 juillet 2008
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